Circuit en Ouzbékistan

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CIRCUIT EN OUZBÉKISTAN Noukous - Khiva - Boukhara - Samarkand - Tachkent 13 jours / 11 nuits

Votre Itinéraire

JOUR 1                       NICE ✈ ISTANBUL ✈ TACHKENT

JOUR 2                       TACHKENT ✈ NOUKOUS

JOUR 3                       NOUKOUS- TOPRAK KALA –AYAZ KALA – KHIVA (260 km 4h30 de route environ)

JOUR 4                       KHIVA

JOUR 5                       KHIVA – OURGUENTCH ✈ BOUKHARA

JOUR 6                        BOUKHARA

JOUR 7                       BOUKHARA

JOUR 8                        BOUKHARA – GUIJDOUVAN SAMARKAND (260 kms / 1h34 en train rapide)

JOUR 9                        Lac et Aydarkul (nuit en Yourtes)

JOUR 11           SAMARKAND

JOUR 10          SAMARKAND

JOUR 12          SAMARKAND TACHKENT (350 kms / 2h10 en train rapide)

JOUR 13          TACHKENT ✈ ISTANBUL ✈ NICE

OUZBÉKISTAN

Entre les deux fleuves Amoudarya et Syrdarya qui coulent à travers l’Asie Centrale, prend place l’Ouzbékistan, dont les villes ont fasciné, par leur beauté et leurs infrastructures, les pèlerins et marchands de la Route de la Soie. Carrefour des routes caravanières, les villes Ouzbèkes ont prospéré et continuent aujourd’hui de faire rêver à la simple évocation de leurs noms: Samarkand, Boukhara, Khiva… Un voyage à la découverte de ces merveilles, à travers des paysages variés:

 HORAIRES DE VOL 2022 – A TITRE INDICATIF

AVEC TURKISH AIRLINES

sous réserve de disponibilités et du maintien des rotations pour 2023

 

PARCOURS

DATE

N° DE VOL

DÉPART

ARRIVÉE

NICE – ISTANBUL

ISTANBUL – TACHKENT

J1

TK 1814

TK 370

11 H 05

18 H 40

15 H 10

01 H 05 + 1

TACHKENT – ISTANBUL

ISTANBUL – NICE

J12

TK 369

TK 1815

09 H 05

15 H 40

12 H 15

17 H 45

JOUR 1 : NICE ISTANBUL TACHKENT

Rendez-vous à l’aéroport de Nice. Assistance aux formalités d’enregistrement et départ pour TACHKENT sur vols réguliers Turkish Airlines avec escale à Istanbul. Repas à bord.

JOUR 2 : TACHKENT NOUKOUS

Arrivée à l’aéroport de Tachkent à 01h05 par le vol TK 370, accueil et transfert à l’hôtel. Installation dans les chambres.

Petit déjeuner.

TACHKENT, capitale de la République d’Ouzbékistan est une des plus grandes villes d’Asie Centrale. Les plus anciennes références à cette cité datent du IIe siècle av. J.-C. On la connaissait alors sous le nom de Chach et les annales décrivent de magnifiques palais, de luxuriants jardins entourant de nombreux temples, de nombreuses rues animées où les artisans exerçaient leurs métiers.

JOUR 3 : NOUKOUS – TOPRAK KALA –AYAZ KALA – KHIVA (260 km 4h30 de route environ)

 

JOUR 3 : NOUKOUS – TOPRAK KALA –AYAZ KALA – KHIVA (260 km 4h30 de route environ)

Visite du célèbre musée des Arts Savitsky “le Louvre des steppes”.Le Karakalpakstan est un territoire bien réel. Échouée au milieu des steppes de l’ouest de l’Ouzbékistan, cette république autonome a pour capitale Noukous, 260 000 habitants, une cité créée de toute pièce en 1932 par les soviétiques. L’histoire s’arrêterait là si cette ville désolée n’abritait pas la collection d’art la plus incroyable d’Asie centrale.

Ce musée renferme d’extraordinaires œuvres de l’avant-garde russe, hier honnie par l’idéologie soviétique, ainsi que des artefacts de la culture locale, elle aussi ébranlée par le rouleau compresseur de Moscou. Un trésor né de l’opiniâtreté d’un seul homme : l’Ukrainien Igor Savitsky (1915-1984). Ce natif de Kiev, issu d’une famille aristocratique décimée par la révolution bolchévique, se prit de passion pour la contrée et son peuple, les Karakalpaks, des semi-nomades turcophones malmenés par l’instauration du système agricole des kolkhozes.

Il recueillit leurs objets quotidiens : tapis, toiles de yourtes, bijoux, amulettes… Autant de pièces à admirer dans les salles de Noukous, au côté de l’autre marotte secrète de Savitsky, les œuvres qui ne répondaient pas aux critères du « réalisme socialiste ». Soit 15 000 toiles (sur un total de 90 000 pièces).

Aux cimaises, tous les mouvements picturaux du début du XXe siècle, néo primitivisme, cubisme, constructivisme… Un festival de couleurs et de formes. Mais pas de noms connus. Et pour cause ! La plupart des artistes exposés (Vasiliy Lysenko, Ivan Koudriachov…) n’ont pas pu, comme Kandinsky ou Chagall, fuir l’URSS, et ils l’ont payé cher, interdits d’exercer leur art, déportés au goulag, internés en hôpital psychiatrique ou exécutés.

Aujourd’hui, seul le musée russe de Saint-Pétersbourg possède une collection plus importante

Déjeuner à Noukous.

Dans l’après- midi, départ de Noukous pour les vestiges des anciens châteaux du désert Toprak Kala et Ayaz Kala. Route vers Toprak Kala, ville datant du 1er s. av. J.-C, devenue capitale régionale sous les Kouchans, au IIème s, elle subit les attaques répétées des Huns héphalites qui, en détruisant les canaux d’irrigation, eurent raison de la cité royale. Vers le VIème s, elle sombra dans l’oubli. Dirigées par le professeur Tolstov, les fouilles archéologiques débutent juste avant la deuxième guerre mondiale. Les fresques qui y furent découvertes sont aujourd’hui au Musée de l’Ermitage à Saint-Pétersbourg où sont protégées la plupart des témoignages des cultures antiques d’Asie Centrale. La continuation vers Ayaz Kala (IIIème s. av. J.-C.) – l’un des sites les plus impressionnants car les ruines des deux citadelles sont perchées sur une colline au milieu du désert. Continuation pour Khiva.

Dîner en ville. Nuit à Khiva.

JOUR 4 : KHIVA

Petit déjeuner.

KHIVA, ancienne ville du Turkestan, capitale d’un khanat dès le 17e siècle, logée au milieu de l’oasis de Khorezm, fut l’un des plus grand marchés d’Asie Centrale et sa prospérité dura jusqu’au début de notre siècle. Aujourd’hui, la ville intérieure Itchan-Kala est un véritable musée ouvert. Départ pour la visite de la ville de Khiva.

Le Kounya–Ark, «vieille forteresse» (1686-1806) : la nécessité d’un palais fortifié s’imposa pendant la période la plus agitée de l’histoire de Khiva ; la forteresse servit aussitôt de résidence au gouverneur;

 Le Kournych-khana servait aux réceptions officielles ; en son centre nous trouvons la petite cour doté d’un aïvan, véranda à deux colonnes dont les murs sont entièrement recouverts de carreaux de majolique peints, exécutés sous le règne du khan Alla-Kouli (1825-1842).

Nous visitons la médersa Mouhammed Rakhim Khan (1871), medersa Islam-Khodja (1908-1912) avec son minaret de 44,5m de hauteur et 9,5 de diamètre, le plus haut minaret de Khiva.En prenant la deuxième « grand rue » d’Itchan-Kala, on arrive au Palais d’Alla-Khouli, plus connu sous le nom de Palais Tach Khaouli, « le palais en pierre », la deuxième résidence des khans de Khiva (1838). Le Palais Tach-Khaouli, avec son harem, ses salles de réception, et sa Cour de Justice, est un véritable dédale où vivaient Allakouli Khan et son entourage extravagant.

La Medersa Allakouli-Khan précède un cortège de bâtiments qui portent tous le sceau royal de l’un des plus grands khans de Khiva. L’édifice est fermé, mais sa force artistique s’exprime dans les céramiques au bleu glacial du plus haut portail de la ville.

Suite de visites: Les douces bulles que forment les coupoles du Tim d’Alla kouli-Khan, aussi appelé « Marché du Palais », relient la cité intérieure au grand bazar, ainsi qu’à l’immense caravansérail Alla Kouli Khan.

Devant la madrassa du khan Moukhammed-Amin, la plus grande de KHIVA (78 x 60 m), se dresse le curieux Kalta-minor (minaret court, 1855). Ce devait être le plus haut minaret de l’Orient musulman, mais Moukhammed-Amin, qui en avait ordonné la construction, ne revint plus à KHIVA à la suite d’une défaite, et les travaux furent arrêtés. C’est du moins ce que rapporte l’historien Mounis. La légende, elle, veut que l’émir de Boukhara, jaloux de ce minaret extraordinaire, convainque secrètement le maître d’œuvre d’en élever un semblable à BOUKHARA. Lorsqu’ il l’apprit, le khan fit jeter l’architecte du haut du minaret, qui, ainsi resta inachevé. Tel quel (26m de hauteur, 14m de diamètre), malgré l’important rétrécissement vers le haut (typique à KHIVA), il garde un aspect massif qu’égaient cependant des bandes inégales de briques glacées bleues et blanches et des dessins géométriques.

En descendant la rue principale, on trouve sur la droite l’un des plus anciens monuments de Khiva : le mausolée de Sayid Alaoudin, érigé peu de temps après la mort du cheikh en 1303 ; l’ensemble d’Islam-Khodja (début du XXe s) et bien d’autres encore.

La Mosquée Djouma est la principale mosquée de Khiva, elle comporte 218 colonnes de bois sculpté.

Derrière la mosquée Djouma s’élève le plus remarquable monument architectural de Khiva : le mausolée de Pakhlavan-Makhmoud. (1810 – 1825), qui occupe l’emplacement de l’atelier d’un fourreur.

Déjeuner en cours d’excursion. Dîner en ville.

JOUR 5 : KHIVA – OURGUENTCH BOUKHARA

Transfert à l’aéroport de Ourguentch et envol pour Boukhara

Même si elle ne compte que 360 mosquées (soit une par rue) comme avant la Révolution, Boukhara a encore la réputation d’être une « ville-musée » : dix siècles d’histoire sont inscrits dans ses monuments qui condensent toute l’architecture de l’Asie Centrale.

Dans cette ville aux rues grouillantes, à la population accueillante et active, veillent curieusement des couples de cigognes, souvent perchées sur des minarets où elles ont élu domicile, devenaient le symbole de la ville

Départ pour une journée complète consacrée à la découverte de Boukhara.

Le dédale des ruelles étroites de la vieille ville aux murs ocre mène au mausolée d’ Ismail Samani, l’un des plus anciens monuments du monde à la mémoire de personnalités musulmanes. Alors qu’il disparaissait en début de siècle parmi les sépultures d’un cimetière mal entretenu et était aux trois quarts enfoui sous terre, il se dresse aujourd’hui au milieu du parc, délimité au Nord et à l’Ouest par les restes des remparts de la ville. Le peuple et la littérature le désignent comme mausolée d’Ismaïl Samani, le fondateur et le plus célèbre représentant de la dynastie, qui régna de 892 à 907 mais les travaux des archéologues ont rétabli la vérité : il s’agit en fait d’un tombeau dynastique, construit par Ismaël pour son père. Malgré ses dimensions modestes, le mausolée possède un caractère monumental, mais c’est le naturel et l’harmonie qui impressionnent surtout Non loin de là, un peu plus à l’est, un autre mausolée, appelé Tchachma-Aïoub, (à cause du puits–tchachma – qui se trouve à l’intérieur), apparut, selon la légende, lorsque le prophète Job (Aïoub) frappa le sol de son bâton de pèlerin. Il remonterait au XIIe s., mais il se présente tel qu’ il fut reconstruit vers 1380.

La forteresse de l’Ark, symbole de l’émirat de Boukhara, a été durant plus d’un millénaire la résidence fortifiée des dirigeants de la ville. Elle comportait des palais, des casernes, l’hôtel de la monnaie et la prison.

Résidence de l’émir jusqu’en 1920. Son aspect actuel date de XVIe s. Haute de 20 m par endroits, il s’agit d’une butte artificielle d’une surface de 34 675 m² et de 780 m de circonférence. Le portail monumental mène à un couloir souterrain. Quelques-unes des douze niches aménagées dans le mur de gauche sont munies de portes. Elles s’ouvraient jadis sur des cellules humides et étouffantes où croupissaient les plus dangereux criminels. Au bout de couloir se trouvait la chancellerie du commandant de la Citadelle, chargé de la garde et du service d’espionnage du palais de l’émir.

En face de la Citadelle, de l’autre côté de la place, l’ensemble Bolo-Khaouz comprend une mosquée, construite en 1712 mais dont l’aïvan date de 1914-1917, un minaret miniature, de 1917, et un bassin (khaouz). Avec ses vingt colonnes d’une hauteur inhabituelle (12,5 m), l’aïvan ne manque pas d’élégance. Chacune d’elles présente de subtiles différences de diamètre et d’ornementation, de même que leurs chapiteaux à stalactites

Déjeuner et dîner en ville. Nuit à Boukhara.

Suite de la découverte de Boukhara avec l’ensemble architectural Poi-Kalon avec son minaret, l’ensemble Liabi-Khauz et la mosquée Maghoki Attori.

Continuation des visites de la ville: la medersa Tchor Minor, les medersas «kosh»: medersa Oulougbek et Abdoullaziz Khan.

Déjeuner en cours de visite.

Promenade sous les coupoles marchandes du XVIe s. avec visites des ateliers différents: tissage, sculpture sur bois, ciselure, peinture sur bois, miniature d’Asie Centrale, instruments musicaux.

Visite de la « tchaikhana », maison de Thé de Mirfaiz Ubaidov avec une dégustation de ces thés si particuliers aux arômes d’épices.

Spectacle folklorique (de danse, chants et défilés de mode) dans la medersa Nodir Devon Begui.

Dîner en ville. Nuit à Boukhara.

JOUR 7 : BOUKHARA

 Petit déjeuner à l’hôtel.

Nous découvrirons, ce matin, le site le plus révéré de Boukhara, le mausolée de Bakhaouddin Nakhchbandi du nom d’un des fondateurs, grand saint de l’Islam soufique à qui l’on prête cette phrase : «Si l’on sème la graine du bien, elle poussera en sept ans et donnera sept cents bonnes actions». Haut lieu de pèlerinage pour les Musulmans, les pèlerins y font plusieurs fois le tour du tombeau qu’ils embrassent. Ils accrochent des chiffons, des pièces de monnaie et des vœux à l’arbre « qui aurait germé sur le bâton »

La Nécropole de Tchor Bakr, lieu saint renommé, est située dans le village de Soumitan à 7 km de Boukhara. Dans cette nécropole se trouvent les tombeaux d’Abou-Bakr Saad et des ses trois frères, descendants de Mahomet.

Puis visite du Palais Sitoraï-Makhi Khosa, l’une des résidences de campagne du dernier émir Saïd Alim Khan (1911).

Déjeuner en cours de visite.

Dîner chez l’habitant, chez Rakhmon, avec la préparation du plat national, plov.

Nuit à l’hôtel

JOUR 8 : BOUKHARA – GUIJDOUVAN – NOURATA – CAMPEMENT DE YOURTES (260 km, 4h de route) :

 Petit déjeuner.

Départ de Boukhara pour la région de Nourata. Arrêt en cours de trajet au minaret de Vabkent, datant du XIIe siècle et haut de 39 m. Visite d’un atelier familial de poterie à Guijdouvan existant depuis six générations.

Arrivée à Nourata. Déjeuner chez l’habitant.

Un arrêt pour admirer le bassin des poissons sacrés, d’origine magique et religieuse, ancien fort d’Alexandre le Grand ainsi que la mosquée.

Puis transfert vers le campement de yourtes. Méharée de 20 minutes à dos de chameau dans les dunes environnantes. Installation, dîner autour d’un feu au son de la musique traditionnelle du désert. Nuit en yourte.

JOUR 9 : CAMPEMENT DE YOURTES – SAMARKAND (260 KM, 4H de route) :

Petit déjeuner.

Départ pour le Lac Aydarkul, balade. Déjeuner au bord du lac.

 Hébergement :

Campement de yourte Kizilkum Safari à Yangikazgan/ Dongalak (1 nuit)

 Ce prix comprend :

  • l’hébergement dans le campement de yourtes (2 personnes par yourte) – 1 nuit
  • le transport de tourisme climatisé
  • les visites guidées, entrées aux musées et sur les sites cités au programme
  • pension complète (thé et eau minérale à chaque repas)
  • le guide accompagnateur francophone

JOUR 10 : SAMARKAND

 Petit déjeuner

Départ pour Samarkand

Samarkand est l’une des plus vieilles cités du monde, ancienne étape de la Route de la Soie, ville-phare de l’Orient à l’époque où Tamerlan en était le maître. Son nom est encore synonyme de mystère et de rêve. Elle n’est plus «  le visage de la terre », ni même « la précieuse perle du monde islamique » et pourtant, à la vue de ses monuments, ses médersas, ses minarets, ses mosquées (aujourd’hui restaurées) il semble que se révèlent à la fois les monuments d’une civilisation prestigieuse et l’expression d’un art arrivé à ses sommets.

La première découverte de cette ville magique : Le Gour-Emir ou « tombeau de l’Émir », le plus célèbre monument de Samarkand et symbole de la ville. La création de cet ensemble n’était cependant pas destinée au terrible empereur, mais à Moukhammed-Sultan, son petit-fils préféré. L’équilibre entre puissance et raffinement du Gour-Emir est mis en valeur avec les deux mausolées qui s’élèvent de part et d’autre, témoins symboliques de l’évolution architecturale de ce type de construction.

La Mosquée Bibi-Khanoum, c’est la plus grande mosquée de son temps, construite pour la femme préférée de Tamerlan entre 1399 et 1404.

Visite du Bazar de Samarcande, où se presse une foule bigarrée. Régal de tous les sens, avec ses étals de piments séchés, d’épices, de légumes et de fruits, le coin des tissus, des soieries chatoyantes et des “suzani” aux couleurs vives.

L’observatoire d’Ouloug Bek : cette construction était au XVème s. unique au monde. Il s’agissait d’un gigantesque instrument d’astronomie se présentant comme un édifice circulaire à deux étages de 48 m de diamètre dont les axes médians correspondaient aux quatre points cardinaux sur le méridien de SAMARCANDE

Sur l’axe nord-sud un énorme sextant permettait l’observation du soleil et de la lune

Oulougbeg, grand astronome, avait réussi à calculer la durée de l’année à une seconde ¼ près par rapport à la science moderne!Les fouilles de 1908 dirigées par le savant Viatkine ont mis à jour des vestiges de fondation ainsi que la partie du sextant qui était enterré

Un petit musée permet de suivre l’évolution des découvertes astronomiques avec un ensemble de cartes, de portraits, d’ouvrages anciens bien documentés.

Beau point de vue sur la ville depuis la terrasse de l’Observatoire.

Spectacle au théâtre El Merosi

Dans ce théâtre des costumes historiques, on assiste à un défilé unique tout en découvrant une collection de costumes époustouflante, mise en valeur à travers la reconstitution de grandes fresques historiques. Une collection de plus de 200 costumes au total, et une dizaine de scènes entrecoupées de danses. On pourra ainsi voyager entre l’âge du bronze et le XXIe siècle en passant par la période timouride, les royaumes gréco-bactriens et le zoroastrisme. Le clou du spectacle est certainement Afrosiab au VIIe siècle !

Le show dure environ une heure et a lieu tous les soirs à 17h.

 Déjeuner en cours d’excursion. Dîner en ville.

Nuit à Samarkand.

JOUR 11 : SAMARKAND

Petit déjeuner à l’hôtel.

Les vestiges de la Cité Antique Afrosiab et son Musée comprenant une remarquable peinture murale.

 Visite de la Fabrique de Papier en Soie – départ pour le village de Koni Ghil pour découvrir la fabrication du légendaire papier de Samarcande. Dans le moulin du village, un artisan fait revivre l’un des secrets les mieux gardés de Samarcande : son papier, réputé pendant des siècles pour sa surface lisse et sa résistance.

Suite de visites avec l’ensemble Registan avec ses splendides medersas d’Oulougbeg, de Chir-Dor, extraordinaire construction qui mêle l’Islam à des réminiscences de zoroastrisme, ainsi que du Tilla-Kari, décoré de faïences en céramique bleue.

Le Registan, centre officiel de l’empire des Timourides, est le complexe le plus grandiose d’Asie centrale. C’était au 15ème siècle un centre commercial, artisanal, culturel et religieux, carrefour de la capitale de Tamerlan. La place proprement dite servait aux défilés militaires et aux exécutions publiques.

Il se compose de trois medersas

Ouloug Beg,dont la taille énorme est équilibrée par l’élégance de ses formes et la beauté de ses mosaïques,

Cher-Dor, dont chaque centimètre carré est recouvert de motifs décoratifs richement colorés, et Tilla-Kari, dont la façade présente deux rangées de balcons avec des fenêtres aux panneaux ajourés.

  •  La madrassa d’ Oulougbek (1417-1420) était au XVe s. la plus grande université d’ Asie Centrale. En plus des disciplines religieuses, on y enseignait plusieurs sciences : les cours d’astronomie, par exemple, étaient assurés par celui qu’ on appelait le « Platon de son époque » Kazy-Zade Roumi, et quelquefois par Oulougbek lui-même. La pureté de sa composition, la rigueur de ses proportions, la noblesse de sa décoration, l’harmonie de ses couleurs en fait un modèle du genre.
  • La madrassa Chir-Dor (littéralement « la madrassa aux tigres ») apparut comme un double de celle d’Oulougbek deux siècles plus tard ( 1619-1635/1636). L’architecte ne s’ est toutefois pas contenté de copier son modèle : ainsi, la nouvelle medersa ne possède plus de mosquée d’ hiver, mais seulement deux salles d’ études qui ont, elles, conservé leurs magnifiques coupoles
  • La madrassa Tilla-Kari (c’est-à-dire « couverte d’or ») apporta la touche finale à l’ensemble quelques années plus tard (1646/1647- 1659/1660)

Visite de l’atelier de soie Aeisha : vous verrez les créations un peu folles et géniales à la fois de la styliste Valentina Romanenko, mêlant style oriental et futuriste. Puis nous visiterons la cathédrale Orthodoxe de St-Alexis.

Départ pour la découverte de l’entreprise de production de vins et de cognacs de Mr Khovrenko. Petite dégustation de vins et digestifs locaux qui vous permettra d’évaluer la qualité de la production locale. :

Déjeuner en cours d’excursion. Dîner en ville.

Nuit à Samarkand.

JOUR 12 : SAMARKAND- TACHKENT (350 km, 2h10 de route en train rapide)

 Petit déjeuner à l’hôtel.

Visite de la mosquée Khazreti Khezr où s’arrêtaient les caravanes avant leur départ sur les pistes lointaines.

Visite de la fabrique de tapis de soie.

 Fin de la visite par la nécropole timouride de Shah-I-Zinda, vaste et magnifique ensemble architectural édifié pour accueillir le mausolée du cousin du prophète Mahomet, Qassim-Ibn Abbas, missionnaire musulman. Le site est composé de onze mausolées destinés aux membres de la dynastie régnante et de la noblesse féodale, enterrés au plus près du saint pour s’assurer une protection dans l’au-delà. Au bout du site, prenez le temps de jeter un coup d’œil au très intéressant cimetière soviétique avec ses pierres tombales décorées.

Déjeuner en cours d’excursion.

Transfert à la gare. Départ pour Tachkent en train rapide Afrosiab (17h30-19h40 ou 18h00-20h10)- Accueil à la gare de Tachkent et transfert à l’hôtel. Dîner en ville. Nuit à Tachkent.

JOUR 12 : TACHKENT ISTANBUL NICE

 Petit déjeuner matinal ou panier repas .

Transfert à l’aéroport à 06h00 (il faudra être à l’aéroport 2h30 avant le vol). Envol pour Istanbul à 09h05 par vol TK 369. Continuation vers Nice.  

HÔTELS SÉLECTIONNÉS

Nombre de participants base chambre double

Prix TTC par personne

au départ de NICE

25 – 29

2 720 €

Sup. chambre individuelle

420 €

 PÉRIODE : OCTOBRE 2023 Sous réserve de disponibilités à la confirmation

 NOS PRIX COMPRENNENT :

TRANSPORT ET GUIDE

  • L’assistance à l’enregistrement à l’aéroport de Nice
  • le transport Nice – Tachkent via Istanbul A/R sur vols réguliers Turkish Airlines (ou similaire), en classe économique
  • La surcharge carburant pour un montant de 238 € à ce jour (révisable – non remboursable)
  • Les taxes aériennes pour un montant de 70 € à ce jour (révisables – remboursables)
  • Le vol intérieur Tachkent – Noukous
  • Le vol intérieur Ourguentch – Boukhara
  • Les transferts aéroport – hôtel – aéroport
  • Le circuit en autocar de tourisme climatisé
  • Le trajet en train express “Afrosiab” entre Boukhara et Samarkand – 2ème classe (selon disponibilité, sinon le trajet sera effectué par la route),
  • Le trajet en train express “Afrosiab” entre Samarkand et Tachkent – 2ème classe (selon disponibilité, sinon le trajet sera effectué par la route),
  • Les services d’un guide accompagnateur local francophone selon programme,

 HÉBERGEMENT

  • 10 nuits en hôtels 3* ou 4* normes locales, en chambre double
    • 1 nuit à Noukous : Jipek Joli 3*NL ou similaire
    • 2 nuits consécutives à Khiva : Zarafshon boutique 4*NL ou similaire
    • 3 nuits consécutives à Boukhara : hôtel Omar Khayyam 4* NL ou similaire
    • 3 nuits consécutives à Samarkand : hôtel Grand Samarkand Supérieur 4*NL ou similaire
    • 1 nuit à Tachkent : hôtel Lotte 4*NL ou similaire
    • 1 nuit Campement de yourte Kizilkum Safari à Yangikazgan/ Dongalak

REPAS

  • La pension complète du petit déjeuner du jour 2 au petit déjeuner du jour 12
  • Les boissons aux repas : ½ eau minérale + thé

 VISITES ET DÉCOUVERTES

  • Toutes les visites mentionnées au programme avec les entrées (visite guidées, musées et sites), incluant également
    • Le spectacle à la Madrasa de Boukhara,
    • dégustation de thé à Boukhara
    • visite de l’atelier de soie (de Romanenko) à Samarkand
    • Spectacle el Merosi  à Samarkand
    • Dégustation ( cave Khovrenko) à Samarkand 

 DIVERS

  • Un carnet de voyage par couple ou personne seule incluant un guide touristique sur l’Ouzbékistan

NOS PRIX NE COMPRENNENT PAS :

  • Les boissons en dehors de celles mentionnées
    • 1 bière locale (0.50l) : 3 € / repas
    • 1 verre du vin local (0.25l) : 5 € / repas
  • Les droits de photos et vidéo sur les sites
  • Les dépenses de nature personnelle,
  • Le port des bagages dans les hôtels,
  • Les pourboires au guide et au chauffeur,
  • Toute(s) autre(s) prestation(s) / service(s) non mentionné(s) à la rubrique “nos prix comprennent”,
  • Le supplément chambre individuelle : 370 € /par personne,
  • FORMALITÉS ADMINISTRATIVES :

  • Visas :

    Pour les ressortissants français, aucun visa n’est exigé pour un séjour d’une durée ne dépassant pas 30 jours, dès lors que le passeport est encore valable pendant trois mois après la date de retour prévue.

    Pour des durées supérieures à 30 jours, l’obtention d’un visa est obligatoire.

    Enregistrement du séjour :

    Pour tout séjour supérieur à 72 heures, il convient de se faire enregistrer auprès de l’OVIR (le Département des visas et de l’enregistrement). L’enregistrement est effectué soit par l’invitant (pour les visas privés et visas d’affaires), soit, lors d’un séjour dans un hôtel, par l’administration de l’établissement.

    Des allègements de procédure ont été introduits concernant l’enregistrement de groupes touristiques, sous certaines conditions.

    FORMALITÉS SANITAIRES au 21/06/2022 :

    Depuis le 10 juin 2022, les restrictions sanitaires relatives à l’accès au territoire de l’Ouzbékistan sont supprimées.

    Les voyageurs sont donc autorisés à entrer sans présentation de test PCR, de test sérologique rapide ou de certificat de vaccination contre l’infection au coronavirus.

    Selon l’évolution de la situation, des liaisons aériennes peuvent être suspendues ou leur fréquence réduite. Les voyageurs sont invités à contacter directement leur compagnie aérienne ou leur agence de voyage pour de plus amples renseignements.

    Les mesures adoptées par les autorités ouzbèkes sont évolutives et leur application est variable. En fonction de l’évolution de la situation sanitaire en Ouzbékistan et dans des pays tiers, les autorités ouzbèkes sont susceptibles de les modifier sans préavis. Dès lors, il convient de s’informer soigneusement, en se référant notamment aux sites internet de l’Ambassade de France en Ouzbékistan et de l’Ambassade d’Ouzbékistan en France afin de prendre connaissance des restrictions applicables.

CONDITIONS PARTICULIERES DE VENTE – OUZBEKISTAN 2023

Annulation totale ou partielle du groupe

Toute annulation par le vacancier avant son départ entraîne l’application du barème de frais suivants applicable par personne sur le montant total du voyage (hors frais de dossier et d’assurances éventuels qui restent acquis à VB.

-Du jour de la réservation jusqu’à 125 jours avant le départ, 30% du montant total du voyage ;

– De 124 à 45 jours avant le départ, 60% du montant total du voyage ;

– De 44 à 33 jours avant le départ, 85% du montant total du voyage ;

– De 32 au jour du départ : 100% du montant total du voyage ;

– Non présentation le jour du départ, 100% du montant total du voyage.

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